Bon, que je te dise…
Tu vas trouver relatée ici la première affaire de la « Paris Détective Agency » que je dirige avec le brio dont tu me sais capable.
Et cette première affaire, c'est pas la première venue,...
Des nuits comme celle-là, je vous jure…
Y a qu'à Paname qu'on en rencontre !
Et encore, faut attendre minuit.
Pourtant, ça démarrait plutôt pas mal. Moi, vous me connaissez ?
Je me voyais déjà plonger dans...
Moi, vous me connaissez ?
Quand la femme d'un zig qui m'a sauvé la vie vient chialer dans mon giron en me disant que son mari va être flingué deux jours plus tard pour haute trahison, je vole à sa...
Et voilà que M. Félix (tu sais, le vieux prof qui possède un sexe d'enfer) a la fermeture Eclair de sa braguette coincée. Avec diligence, Berthe veut le dépanner en s'aidant d'un coutelas. Hélas ! La lame ripe et se plante dans le zob du...
C'est beau, un porte-jarretelles.
C'est musical.
Y en a qui préfèrent la guitare électrique, libre à eux, tout le monde peut pas avoir ma santé.
Moi,le collant, j'admets pour les danseurs à la rigueur. Mais reconnais...
Tu prends : un vieux duc cacochyme, une grosse virago hystérique, un couple espagnol aimant les films porno, deux homosexuels amoureux, une oie blanche, deux gangsters (dont l'un est américain), quelques malfrats, pétasses et amaqueurs en tout...
Chanson de salle de garde :
Non, non, non, Bérurier n'est pas mort
Non, non, non, Bérurier n'est pas mort
Car il bande encore
Car il bande encore.
Et pourtant ! Oui, pourtant !
Il a bel et bien trépassé à l'ombre
des montagnes...
Des années que j'avais pas revu ce crevard d'Ambroise. Un flic qui avait mis un pied dans le Milieu et l'autre dans la gadoue.
A l'époque, Béru, son beauf par mésalliance, lui avait flanqué la rouste du siècle.
Et puis, voilà que ce...
Je connais plusieurs centaines de milliers de femmes qui vont avoir un sérieux pincement au cœur en lisant les premières lignes de cette histoire : imaginez un peu, mes belles, le beau, l'unique, celui qui vous fait tourner les têtes, le...
Il s'en passe de sévères à l'institut de thalassothérapie de Riquebon-sur-Mer. On est obligé de planquer les cadavres dans les tiroirs car les croque-morts arriveraient pas à tous les croquer ! Ça tombe à qui mieux mieux : les vieillards en...