Enfin, un mot en particulier pour remercier Angela Palmer, qui m’a, d’elle-même, autorisé à emprunter le concept de ses œuvres époustouflantes pour les prêter à Gabrielle Hoffmann (les originaux peuvent être vus sur angelaspalmer.com), et aussi à Paul Greengrass, pour ses conseils judicieux, son amitié et tous les pleins de liquidités que nous avons pu partager en route.