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- Tout homme a ses faiblesses.

- Vous me plaisez, Marina ! dit Ignacio.

- Ignacio, vous savez que vous êtes bizarre !

- Marina, vous êtes bizarrement proche de ma vision du personnage. Marina, tu est très jolie ce soir.

- Je voulais m'excuser d'avoir été bizarre dernièrement, dit Marina.

- Je vous pardonne, Marina ... Cette promenade prouve qu'on peut être drôles et charmants …

On riait et plaisantait et d'un coup, elle n'a plus rien dit. Il lui prit la main et lui demanda si tout allait bien. Elle tremblait de peur.

- Nous devons nous séparer ! dit Marina. Et puis, il est déjà tard. Je dois partir.

- Mais pourquoi, Marina ? demanda Ignacio. Il y a un problème ?

- Je pense que nous devons nous séparer pour rester de simples amis.

- Je me tiens devant vous, brisé sous votre volonté, murmura Ignacio.

- Pars ! s'écria-t-elle. Pars, Ignasio ! Excusez-moi ...

- Mais pourquoi, Marina ? s'écria-t-il. Je me tiens juste devant vous, et vous ne devriez pas me laisser partir. Vous n'avez pas le courage d'écouter votre cœur.Tu vois bien que je suis seul. Je ne suis pas sûr que tu es raison.

- J'ai peur d'Albert.

- Est-ce qu'il n'est pas parti ?

- Je sais qu'il me suit. Et, peut-être se séparer un peu pourrait nous faire du bien. Si nous sommes ensemble ... Et ce sera pire, parce qu'on tiendra l'un à l'autre. J'ai peur qu'il ne vienne ...

- Ne cédons pas à la tentation de la peur. Je ne pense pas qu'il vienne ici. Je te dis cela pour que tu sois tranquille. Je vais t'aider, Marina.

- Il n'y a personne qui puisse m'aider, dit Marina. Elle pleurait.

- Viens à moi, Marina, dit-il.

- Je suis contente que tu sois resté, dit Marina. Elle soupira.

- Nous sommes ... accrochés l'un à l'autre. Je serai toujours avec toi, Marina, dit Ignasio. J'ai toujours rêvé de rencontrer une femme comme toi, Marina.

- Tu sais... j'ai toujours rêvé de mariage.

- Voulez-vous que votre fiancé vous trouve ? demanda Ignasio. Il parlait tout bas.

Elle lui regarda avec étonnement et ne répondit rien.

- J'espère que votre fiancé n'est pas jaloux ... Si vous voulez qu'il revienne, vous devez vous dépêcher. Et elle passe sa vie à attendre qu'il revienne, dit Ignasio avec tristesse. Il n'a pas caché sa déception.

- Désolé, je ne voulais pas vous offenser, dit Marina. Écoutez, Ignasio, si vous voulez que votre femme vous respecte, vous devez gagner son respect.

Il lui prit la main et l'embrassa. Deux amants, ils se tenaient par la main et s'embrassaient.

- Je n'oublierai jamais cette nuit, dit-elle.

- Maintenant on se connait l'un l'autre. Je suis très heureux. Je voudrais m'endormir dans tes bras, Marina, chuchota Ignasio. Il était très tendre et charmant.

- Ignacio, tu est très affectueux. Mon chéri, ça fait du bien d'être dans tes bras.

- Ah, je te remercie, ma chérie. Marina, mon coeur, ta peau est douce ... Ma fleur des champs ... Je t'aime, Marina. Ignacio lui chuchotait les mots tendres.

Elle ferma les yeux et sourit joyeusement. Marina et Ignasio se trouvaient très tout près l'un à l'autre. Cette nuit-là, ils s'aimaient ... Ignasio était l'amoureux fervent. Cette nuit était remplie de caresses torrides et de baisers passionnés ...

 

* * *

Marina et Ignasio seraient très surpris s'ils savaient que maintenant sur une plage déserte la nuit, ils ne sont pas seuls. L'homme les observait, c'était Albert. Quand l'homme est venu à la maison de Marina, elle n'était pas à la maison. Mme Ursula dit qu'elle était allée à la plage. Albert se dépêcha de Marina. Il courut, plein de rage. Il vit sur la plage une jeune femme, c'était Marina. « Quel bonheur ! Je l'ai trouvé si rapidement. » dit l'homme avec un sourire ironique. Mais il était très surpris en ayant vu Marina en compagnie d'un jeune homme fort. Apparemment, c'était un résident local, un pêcheur. Albert attendit, ne sachant pas comment procéder.

Albert attendit que le pêcheur part. Mais l'homme étrange ne partit pas. Marina et le pêcheur, ils parlaient de quelque chose. À cause du bruit du ressac Albert n'entendait rien de ce qu'ils disaient. Soudain, un homme inconnu embrassa Marina. Albert voulait l'aider. Mais Marina ne demanda pas d'aide. Marina et l'homme inconnu se trouvaient très tout près l'un à l'autre. Et alors Albert se rendit compte que Marina connaissait cet homme, ils avaient le rendez-vous ici. Tout était arrangé d'avance. Ils sont amants ! Leur baiser passionné disait sur cela. Mais pourquoi Marina est tombée amoureuse de ce pêcheur ? Albert ne comprenait pas cela. Cette personne inconnue était pauvre. Albert était très riche. Albert comprit soudain qu'il ne comprend pas les femmes. Deux amants, ils se tenaient par la main et s'embrassaient. Albert comprit : ils s'aiment. Il avait l'air mécontente ...

Albert observait tout ce qui se passait avec beaucoup d'intérêt. Sur une plage déserte était clairement visible silhouette d'un couple d'amoureux. Albert est follement amoureux d'elle, mais Marina lui trahit. C'était un choc pour d'Albert. Il souffrit, son cœur était brisé. Maintenant, il la détestait encore plus. Albert voulait punir Marina et son amant. Il voulait tuer un homme qui a volé sa femme. Son âme était remplie de jalousie. Albert voulait regarder dans les yeux de la femme qui l'avait trahi à la veille du mariage. En ayant trahi d'Albert, elle immédiatement courut à son amoureux. Il était furieux. Albert colère serra les poings et resta où il était. Le monde s'est effondré. La scène de la trahison était devant ses yeux. « Marina m'a trahi à cause du pêcheur. Elle m'a trahi ... Des amants, rêvant d'un futur commun, pensait Albert. Il y avait de la haine dans ses yeux. Ces jeunes sont insouciants ... Mais je vais les punir ! », dit Albert en quittant la plage. Avec un effort, Albert s'est approché de son voiture. Tout était comme dans le brouillard. Il trébuchait comme s'il était ivre. Cet homme était agressif ... C'était de la jalousie, insensée, cruelle et aveugle ... Albert ne voyait rien devant lui-même. Tout était flou, Albert pouvait à peine discerner la route.

Albert a souffert de l'humiliation insupportable et la douleur. Il criait de la douleur et les souffrances morales. Mais le pire de tout était qu'il aimait cette femme. Albert voulait la posséder. Comme si cela était le sens de sa vie. Rejeté par elle, il l'aimait encore plus. Albert voulait la posséder. Il était comme possédé. « Marina, je ne t'aime pas ! Mais je dois te posséder ! Marina, je te déteste !!! Mais encore plus je déteste ton amant. Je vais le détruire ! », s'écria-t-il. Il ressemblait à une bête blessée.

Albert a garé la voiture et est allé dans sa chambre. Il but toute la bouteille de whisky. Quand Natacha est venue, il était ivre. Albert était assis dans le fauteuil. En ayant vu Natasha, il cria :

- Pars !

- Mais pourquoi ? demanda Natasha. Elle était très surprise.

- Arrête de me regarder, pars ! dit-il. Il la regardait avec haine.

- C'est quoi ton problème, Albert ?

- Natasha, je ne t'aime pas. Pars de là !

En ayant entendu ces mots, Natasha immédiatement quitta la salle ...

 

Le charme de l'amour

 

Chapitre 4

La tempête

Marina se réveilla, ouvrit les yeux et ferma immédiatement les yeux à cause de la lumière du soleil qui entrait dans la pièce par la fenêtre ouverte. Marina ouvrit à nouveau les yeux et regarda autour de lui avec intérêt, c'était la chambre d'Ignacio. Ce soir-là elle alla chez lui. Marina passa la nuit chez Ignacio. La femme sourit en se souvenant de la promenade d'hier sur la plage, un différend avec Ignacio et ... son baiser, la force de ses bras ... Elle rougit de souvenirs agréables. Ignacio entra dans la pièce, il sourit :