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- Chérie, tu t'es réveillée déjà ? Je t'ai fait du café.

- Un café au lit le matin. Oh, c'est parfait ! dit-elle en souriant. Chaque femme rêve de cela.

- Marina, je suis content que tu aimais, dit-il. L'homme regarda dans les yeux de Marina et chuchota :

- Je suis content que nous nous sommes rencontrés. Cette nuit-là, nous étions heureux ensemble. Marina, tu es ma sirène ... Tu es belle !

- Une étrange comparaison ... dit Marina. Les sirènes ruinent les voyageurs ...

- Ulysse s’est laissé séduire par le chant des sirènes. Je sens que je vais mourir d'amour pour toi, dit Ignacio. Il fit un câlin à Marina avec tendresse. La femme souriait joyeusement.

- Tu es très romantique, Ignacio, chuchota-t-elle.

- Fondamentalement, je suis un incurable romantique ... Mais surtout, je t'aime, Marina.

- Sérieusement, c'est le matin le plus romantique ...

- J'adorerais avoir une soirée romantique avec toi, Marina, dit-il.

Marina s'est levée du lit et s'est promenée dans la pièce.

- Ignacio, comme ton maison me plaît ! dit-elle. Cette maison est claire et spacieuse.

- Tu trouves ? Elle est spacieuse parce qu’il n’y a pas de meubles.

- Comment ça il n’y a pas de meubles ? Il y en a !

- Ça ne va pas, je veux des meubles neufs.

- Pour quoi faire ? Tu n’auras plus de place dans la maison.

- Ce n’est pas grave, c’est joli les meubles assortis.

- Un bel homme et ... Une jolie maison à la campagne avec tout le confort. Probablement, c'est le paradis, dit Marina.

- Désolé, dans la maison il n'y a pas de conforts, dit Ignacio. La maison est ancienne. En outre, la maison est située loin du centre.

- Mais les fenêtres donnent sur la mer. La vue est très jolie.

- Marina, tu aimes la mer ?

- Oui.

- J'aime aussi beaucoup la mer, dit Ignacio. Il avait l'air rêveur.

- C'est pourquoi tu vis ici, Ignacio ? demanda Marina.

- Oui. J'aime vivre à Alvor. J'aime la vue sur l'océan Atlantique. J'aime le silence et le bruit du ressac. Je suis fatigué de l'agitation de la ville. Vous pensiez avoir tout vu de la côte de l'Algarve ? Pourtant, ses deux-cents kilomètres de criques, de falaises et de plages de rêves au sud du Portugal restent méconnues des voyageurs. L'Algarve vous séduira par ses falaises vertigineuses, ses plages et ses îles sablonneuses. Marina, veux-tu que je te montre cette terre ?

- Bien sûr, Ignacio ... Tu as une grande bibliothèque. Quelle est ton profession ?

- Je suis écrivain.

- Est-ce que je peux vous poser une question : gagnez vous beaucoup d'argent ?

- Non, pas beaucoup, mais cela me suffit. Ce travail me satisfait pleinement. Marina, l'argent est-il important pour vous ? Je peux dire que je suis pauvre, dit Ignacio avec son triste sourire.

- Non! L'argent ne m'importe pas, dit Marina. Elle était offensée par Ignacio.

Marina se rassembla rapidement et partit. Ignacio ne l'a pas empêchée. Ils se fâchaient l'un contre l'autre.

Marina décida d'aller faire ses courses. En ayant vu dans la vitrine une belle robe bleue, Marina voulait l'acheter. Elle entra dans la boutique.

- Puis-je vous aider, Mademoiselle ? demanda la vendeuse.

- Je voudrais acheter une belle robe, dit Marina.

- Une robe de soirée ou une simple robe ?

- Une robe de soirée.

- Comment trouvez-vous celle-ci ? demanda la vendeuse. Dans ses mains, elle tenait une robe rouge.

- Elle est très jolie ... répondit Marina. Mais j'aimerais voir une robe bleue ... J'avais vu cette robe dans la vitrine. Je voudrais l'essayer.

- Je vous en prie. Voici la cabine d'essayage.

- Comment me trouvez-vous ? Elle me va ? demanda Marina.

- C'est parfait et en plus, elle est bien coupée. Je vous conseille de la prendre, dit la vendeuse.

- Oui, elle est jolie. Cette robe me convient. Je la prends, dit Marina. À ce moment-là, elle vit Ignacio. Il se tenait dans la rue et la regardait. Ils se regardaient à travers la fenêtre.

- Mademoiselle, vous achetez cette robe ? demanda la vendeuse.

- Oui. Je voudrais payer par carte de crédit, dit Marina.

- Bien sûr, Mademoiselle, dit la vendeuse.

Quand Marina regarda par la fenêtre, Ignacio était déjà parti. Elle soupira avec regret et se dirigea vers la sortie. Il l'attendait dans la rue, en s'étant appuyé contre l'arbre.

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- Bonjour, Marina, dit Ignasio, en ayant vu la jeune fille.

- Bonjour, Ignasio, dit Marina.

- De magnifiques vitrines remplies de tentations, dit-il avec l'ironie. Marina, vous aimez faire des courses ? Répondez à ma question.

Elle se renfrogna et dit :

- Ignasio, vos observations, même justes, m'irritent.

- Vous êtes contente de me contredire, Marina.

Marina ne dit rien à son ami.

- Tu es toujours si sérieuse, Marina ! Tu t'offenses toujours. Nous nous disputons toujours ! Il est difficile de te parler, Ignacio était en colère. Mécontent, il se détourna.

Ne voulant pas continuer cette conversation, elle se tut. Ignacio lui prit la main et dit :

- Pardonne-moi, Marina. J'avais tort. Je ne voulais pas t'offenser. J'ai le caractère difficile ... Mais je t'aime, Marina ...

Il était triste plus que jamais. Il parlait tout bas, mais Marina entendait ses mots avec son cœur. Elle sourit en regardant son ami et dit :

- Je t'aime aussi, Ignacio.

- Je n'oublierai jamais la nuit d'aujourd'hui, Marina ...

- Je ne t'oublierai jamais, Ignacio.

Ils se sont tus. Après quelques minutes de silence, il dit :

- Je vais te accompagner à la maison. Toi non contre ?

- Je serai contente, dit-elle.

- Je voulais dire que cette robe bleue que tu aies acheté est très belle. Tu devrais toujours t'habiller comme ça.

- Vraiment ?!

- Bien sûr !

- Et, en général, tu es très belle, Marina ... Marina, je suis fier de toi, dit Ignacio. Il regardait Marina avec l'admiration. Elle était très émue quand elle a entendu ces mots touchants. Ignacio embrassa Marina. Il regarda dans ses yeux et dit : « Je t'aime, Marina ... » La jeune femme sourit. Les amoureux se sont embrassés. Certains passants les regardaient envieusement.

« Regardez qui marche dans la rue. Quelle scène touchante ! Nos amoureux sont ensemble. Marina avec son petit ami. Une fleur rebelle et un charmant prince. Et ils s'embrassent, ils sont heureux ! » dit le détective Paulo Rodrigues. Il les observait.

« Tant qu'ils sont heureux ils peuvent se nourrir de l'amour de chacun des autres. Mais j'ai faim. », pensa le détective, en souriant. Il mangeait le hamburger, en observant les amants. Paulo Rodrigues fit quelques photos.

« Cette femme est sa passion ! pensa le détective en regardant Marina et Ignacio. Mais elle l'écoute et le regarde avec toute la tendresse du monde. »

« J'ai pris une bonne photo ! Monsieur Wolski sera content ... », pensa le détective Paulo Rodrigues. Il prit la dernière photo et sortit son téléphone portable, pour appeler d'Albert. À ce moment-là passant lui poussa. Le téléphone portable tomba sur la terre. Pendant que le détective cherchait un téléphone, Ignacio et Marina sont partis. Il les perdit de vue. « Zut ! ils sont partis ! » s'écria le détective. Il était très en colère.