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La Fondation Chirac

La fondation Chirac rassemble des femmes et des hommes de tous les continents décidés à agir au service de la paix, du dialogue des cultures et de la protection de la planète.

La Fondation encourage des actions pionnières et concrètes pour favoriser la paix et le développement durable, notamment à travers l’accès de tous à l’eau et à l’assainissement, ainsi qu’aux médicaments de qualité.

En un an, la Fondation a déjà :

— consolidé le premier laboratoire de contrôle des médicaments en Afrique de l’Ouest,

— lancé une mobilisation mondiale contre les faux médicaments,

— fait certifier pour l’exploitation durable plus de un million d’hectares de forêt tropicale dans le bassin du Congo,

— lancé une campagne avec la Banque africaine de développement pour l’accès à l’assainissement dans plusieurs régions rurales d’Afrique,

— préservé la mémoire de langues et de cultures menacées de disparition et ouvert un site Internet consacré aux langues rares.

Enfin, la Fondation remettra, chaque année, un prix pour la prévention des conflits distinguant deux personnalités ou deux institutions qui ont œuvré pour la paix.

Découvrez l’action de la fondation Chirac et les moyens de participer à son action sur son site http ://www.fondationchirac.eu.

Fondation Chirac
14, rue d’Anjou, 75008 PARIS
Tél. 01 47 42 87 60 / Fax 01 47 42 87 78

Cahier photos

Pendant la guerre, au Rayol.

Mon grand-père (le dernier à droit au deuxième rang), Louis Chirac, a toujours défendu les valeurs de respect et de tolérance. Grand républicain, attaché à laïcité, il restera pour moi un modèle.

Le jour de ma communion solennelle avec mes parents, François et Marie-Louise Chirac.

En vacance en Corrèze avec mon père, qui a su m'inculquer un profond respect du travail.

Chez les scouts (je suis le troisième en partant de la droite), on m'appelait « Bison égocentrique ».

Voyage aux États-Unis, en compagnie de mes amis de Sciences-Po : Françoise Ferré et Philippe Dondoux. À la découverte du nouveau monde.

En route pour le Grand Nord.

Retour a Sainte-Féréole, en Corrèze, devant la maison d'Eugénie Couly, amie de ma famille.

Mon mariage avec Bernadette, le 16 mars 1956, à Paris, en l'église Sainte-Clotilde.

Chez mes beaux-parents, au début des années soixante avec Bernadette et nos deux filles : Laurence et Claude.

Au domicile de mes parents à Paris, en compagnie de ma mère, de Laurence et de Bernadette.

En Algérie à la tête du 3e peloton du 6e RCA.

En Algérie à côté de mon supérieur, le capitaine Péchereau.

En 1959, à l'ENA : la promotion Vauban.

25 mai 1967 : j'ai l'honneur d'appartenir au nouveau gouvernement de Georges Pompidou et de servir le général de Gaule.

Avec Georges Pompidou et Édouard Balladur, au moments des accords de Grenelle, en mai 1968.

Le 27 mai 1968, nous travaillons avec les organisations syndicales à la conclusion des accords de Grenelle.

La 403 avec laquelle j'ai fait ma première campagne électorale en Corrèze.

Au cœur de la tourmente, le 20 mai 1968, je quitte l'Élysée à l'issue d'un entretien avec le général de Gaule. J'étais alors secrétaire d'État a l'Emploi.

À la table du Conseil des ministres, dans le salon Murat de l'Élysée. Ce sera le dernier Conseil présidé par Georges Pompidou.

Avec Georges Pompidou qui m'a tant appris par son sens de l'État, son humanité et sa passion exigeante de la France.

Alors ministre de l'Agriculture avec Valéry Giscard d'Estaing, ministre de l'Économie et des Finances, et le Premier ministre Pierre Messmer, le 4 septembre 1972, a l'issue d'un déjeuner avec le président Georges Pompidou.

Avec mon amie Simone Veil, ministre de la Santé, lors d'une conférence de presse à Matignon en 1974.

1977, en campagne pour l'élection à la Mairie de Paris.

A la tribune, devant les cadres nationaux du mouvement gaulliste en 1976

En discussion avec Jacques Chaban-Delmas durant le Congrès des maires de France en 1978, qui se tient à l'Hôtel de Ville de Paris.

Avec le président François Mitterrand

À l'occasion d'un sommet européen, lors de la première cohabitation, de 1986 à 1988.

Avec le pape Jean-Paul II.

J'accueille Deng Xiaoping à Paris, en mai 1975.

En 1981, je remets le grand prix de la poésie Alfred-de-Vigny au président sénégalais Léopold Sédar Senghor.

Saluant le champion sumo Takazawa à la japonaise, dans les salons de l'Hôtel de Ville, le 6 octobre 1986.

Le 26 septembre 1993, lors des Journées parlementaires du RPR à La Rochelle, avec le Premier ministre Édouard Balladur.

Le soir de la Victoire, le 7 mai 1995.