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Marianne…

Remerciements et sources principales

Tous mes remerciements vont à MM. Christoph Guillaumot, Yves Le Hir, José Mariet et Pascal Pasamonti, du Service régional de police judiciaire de Toulouse ; et à André Adobes, sparring-partner, jamais avares de leur temps. Aucun d’eux ne peut être tenu pour responsable de mes erreurs et de mes opinions.

Dans mes recherches pour donner à cette fiction une certaine réalité, j’ai trouvé une aide précieuse dans les livres suivants : Femmes sous emprise et Le Harcèlement moral, la violence perverse au quotidien de Marie-France Hirigoyen ; Les manipulateurs sont parmi nous de Isabelle Nazare-Aga ; La Perversité à l’œuvre. Le harcèlement moral dans l’entreprise et le couple de Jean-Paul Guedj ; Une Française dans l’espace de Claudie André-Deshays et Yolaine de La Bigne ; Carnet de bord d’un cosmonaute de Jean-Pierre Haigneré et Simon Allix ; L’Exploration spatiale de Arlène Ammar-Israël et Jean-Louis Fellous ; Almost Heaven, the Story of Women in Space de Bettyan Holtzmann Kevles ; À leur corps défendant. Les femmes à l’épreuve du nouvel ordre moral de Christine Détrez et Anne Simon ; Toulouse hier, aujourd’hui, demain de Fernand Cousteaux et Michel Valdiguié ; L’Opéra ou la Défaite des femmes de Catherine Clément ; Tout l’opéra, de Monteverdi à nos jours de Gustave Kobbé ; Cinq grands opéras d’Henry Barraud ; Dictionnaire amoureux de l’opéra d’Alain Duault ; Russian Criminal Tattoo Encyclopaedia.

Caroline Sers m’a aidé à rendre ce texte meilleur, de même que Gwenaëlle Le Goff et Christelle Guillaumot.

Je remercie chaleureusement pour leur travail remarquable les équipes des éditions XO et Pocket ; à commencer par Bernard, Caroline et Édith — premiers lecteurs.

Toutes les erreurs sont de mon fait. Mes personnages ne sont que pure invention. Ainsi, les présentateurs télé et radio que j’ai rencontrés ne ressemblent en rien à ceux dépeints ici. De même, ni l’Agence spatiale européenne ni le CNES n’ont cherché, à ma connaissance, à étouffer quelque affaire que ce soit. Pour ce qui est des goûts musicaux de Servaz, je suis une fois de plus redevable à Jean-Pierre Schamber de m’avoir guidé sur ces épineux sentiers qu’il parcourt plus souvent que moi ; il faut ajouter ici la contribution de l’éminent Georges Haessig en ce qui concerne ces merveilleux fragments d’enregistrement sur rouleaux interprétés par Mahler lui-même.

Enfin je voudrais préciser que les serrures du Grand hôtel de l’Opéra ne sont très certainement pas aussi faciles à ouvrir qu’il est dit dans le livre. Mais cela ne change rien au fait que des millions de serrures électroniques de grands hôtels de par le monde présentent un niveau de sécurité très limité pour un cambrioleur un tant soit peu averti et équipé.

Et puis il me faut étendre les remerciements à ma famille, à mes amis et à tous ceux — ils se reconnaîtront — qui ont permis un jour que j’aie des lecteurs. Et, last but not least, à ces lecteurs eux-mêmes.